Une hausse considérable des apports personnels pour les prêts immobiliers. Des conditions de plus en plus strictes.
Si vous avez pour ambition d’acquérir un bien immobilier en ce moment, préparez-vous à devoir rassembler un apport personnel de plus en plus conséquent.
Les banques, confrontées à la hausse des prix de l’immobilier, aux taux d’intérêt en augmentation et aux directives du HSCF, ont considérablement renforcé leurs exigences en matière de prêts immobiliers.
Des prix de l’immobilier en constante augmentation
L’envolée des prix de l’immobilier est l’un des principaux facteurs de cette hausse des apports personnels exigés par les banques. En effet, les biens immobiliers deviennent de plus en plus chers, rendant le financement de ces acquisitions de plus en plus difficile pour les candidats à l’achat.
💁 Les candidats à l'acquisition doivent disposer un apport personnel de plus en plus conséquent pour décrocher un #prêt #immobilier.
— ERA BISCA ROSSImmo (@ERABISCA) June 12, 2023
📈 Poussées par hausse des prix, la hausse des #taux, et les consignes du HSCF les banques ont fortement accru (…) https://t.co/ipI7EkSnx1
Des taux d’intérêt sur le point de grimper
Les taux d’intérêt, qui influencent directement le coût total d’un prêt immobilier, sont également en hausse.
Cette augmentation rend plus coûteux le remboursement des prêts et exige donc des apports personnels plus importants pour sécuriser l’octroi d’un prêt.
Les nouvelles directives du HSCF
En outre, les consignes du HSCF (Haut Conseil de Stabilité Financière) jouent un rôle clé dans cette évolution. Ces directives incitent les banques à adopter une politique de prêt plus prudente, ce qui conduit à une augmentation des apports personnels exigés.
Que peuvent faire les candidats à l’acquisition ?
Se préparer à des exigences plus élevées
Face à ces nouvelles conditions, les candidats à l’acquisition doivent donc se préparer à rassembler un apport personnel plus conséquent pour décrocher un prêt immobilier.
Cela nécessite une planification financière plus rigoureuse et une évaluation réaliste des capacités de remboursement.
